« La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre » (Albert Einstein) |
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Je ne te demande pas, Seigneur, de gérer ma vie et de régler la difficile circulation à mes carrefours quotidiens ! |
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Je te demande seulement un peu de lumière. Alors, à travers les dédales de ma mesquinerie, j’avancerai dans l’accueil permanent et dans la bienveillance toujours accordée. |
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Je te demande seulement un peu de courage. Alors, à travers les fascinations de mes envies, je m’engagerai dans l’amour qui se livre, quitte à tout perdre afin de partager. |
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Il me revient, à moi, Seigneur, et à ma liberté, à travers hésitations et décisions de tailler ma route : je le sais. |
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Je te demande seulement, Seigneur,c’est une petite demande, de me faire signe, de temps en temps, sur les chemins où je marche. |
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« Pour ce qui est de l’avenir, il ne s’agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible » (Antoine de St Exupéry) |
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Le sable et les deux mains |
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Georges, un garçon de treize ans, se promenait sur la plage en compagnie de sa maman. Et subitement, il demanda : « Maman, comment fait-on pour garder un ami quand finalement on en a trouvé un ? » |
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La maman réfléchit quelques instants, puis se baissa et prit deux poignées de sable. |
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Tenant les paumes vers le haut, elle ferma une main et pressa fortement : le sable s’échappa entre les doigts et plus elle serrait le poing, plus le sable s’enfuyait. |
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Par contre, l’autre main, elle la tenait bien ouverte : le sable resta intégralement.Georges observa la démonstration avec étonnement, puis s’écria : « Je comprends ! » |
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« C’est d’âme qu’il faut changer, non de climat » (Sénèque) |
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Une petite fille de cinq ans ne laissait aucun répit à son père et, quand il revenait de la ville, elle ne cessait de lui demander ce qu’il lui avait acheté. |
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