« On cherche Dieu pour le trouver avec une plus grande douceur, on le trouve pour le chercher avec une plus grande ardeur. » (Jean Paul II) |
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Un jour, un ministre était assis sur le bord d’une fontaine urbaine. Un moment d’inattention, et le voilà qui tombe à l’eau. |
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Quelques passants, témoins du drame, s’approchent et lui tendent la main en criant : « Donnez-moi la main ! » |
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Mais l’homme politique ne tend la main à personne, l’air de ne rien entendre. |
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A ce moment, survient un autre passant. Il se fraye un passage à travers la foule et explique : « Mes amis, depuis sa plus tendre enfance, notre ministre n’a appris que le verbe prendre ; il ne connaît pas le verbe donner ». Et tout en parlant, il lui tend la main : « Bonjour, votre Excellence, prenez donc ma main. » |
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Immédiatement, le ministre saisit la main de l’homme et sort du bassin. |
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Combien de gens confondent les verbes ! Dieu, lui, ne connaît que le verbe donner ! |
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« Cherchons comme cherchent ceux qui doivent trouver, et trouvons comme ceux qui doivent chercher encore. » (Saint Augustin) |
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Un jeune homme se plaignait de Dieu auprès d’un vieil ami : |
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- Dieu envoie aux autres ses richesses, mais à moi, il ne me donne rien. Comment débuter dans la vie avec rien ? |
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Le vieillard lui répondit : |
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- Es-tu aussi pauvre que tu le dis ? Dieu ne t’a-t-il pas donné la jeunesse et la santé ? |
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- Je ne dis pas non et je suis fier de ma force et de ma jeunesse ! |
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Le vieillard lui prit la main droite et lui dit : |
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- Voudrais-tu te la laisser couper pour mille roubles ? |
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- Sûrement pas ! |
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- Et la gauche ? |
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- Pas davantage. |
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- Consentirais-tu alors à devenir aveugle pour dix mille roubles ? |
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- Dieu me protège ! Je ne donnerais pas mes yeux pour tout l’or du monde ! |
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- Alors, de quoi te plains-tu ? reprit le vieillard. Ne vois-tu pas que Dieu t’a donné un immense trésor ? |
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